Dimanche 15 juin 2008 à 20:00

comment faire, quand on a eu une enfance difficile, pour affronter la vie et ses pièges? A 19 piges je n'ai toujours pas trouvé la réponse... Je porte encore le poids des souvenirs, des cris et de ma tristesse, mais je suis Toujours près à m'envoler vers la lune pour quitter ce monde qui me rattache à tout ces souvenirs, et qui ne m'a rien offert... Je pense être différents car je n'est pas comme la majorité voulu me venger en foutant le bordel ...
Mais j'ai tant voulu être ce monsieur tout le monde... Pourquoi je ne le suis pas? Encore une question sans réponse certaine, je crois grâce à l'éducation de ma mère. Sur certains points c'est ce qui ma fait mûrir, mais je me suis arrêté en chemin. Ceux qui me connaissent  le savent, mais je me cache derrière un masque... Je suis un gamin de 19 ans qui a besoin qu'on le rassure et qu'on l'épaule, c'est triste me direz vous, mais vivez ce que j'ai vécu et on en reparle, on verra dans quel état vous serez...

Pour finir, si vous êtes, ou si vous connaissez quelqu'un qui puisse me donner confiance en moi, et m'apprendre a vivre, je suis preneur !!! 



Samedi 7 juin 2008 à 14:20

Lecteurs lectrices, ceci n'est qu'une ébauche. Le manque d'inspiration, et le risque de voir mon blog supprimé par faute de mises a jours m'ont obligé à le publier tel quel. J'essaie toujours de la continuer mais ce n'est pas si simple d'écrire ce genre de texte en restant correct... Bref en espérant que le début vous fasse rêver ^^ .


Hier soir comme de nombreux soirs je me suis revu, avec toi... tu étais allongée, j'étais sur le flanc à côté de toi. Je caresse ton visage, je descends... Je defais le bouton de ton jean, je sens ta respiration s'accélérer. Je t'embrasse tendrement . Tu n'es pas inactive, mais reste plutôt sage. Une de tes mains est autour de mon cou, et l'autre se balade sur mon torse. Je passe ma main sous ton jean, tu tressailles lors du contact contre ta petite culotte de mes doigts. Tu t'enhardis à ce contact et ta main restée inerte autour de mon cou descend doucement, mais tu sembles toujours freinée par ta timidité. Lorsque je retire ma main, tu sembles frustrée que je m'arrête en si bon chemin, et enlève ton debardeur. Ton soutient-gorge le suit. Je peux ainsi caresser ta poitrine, l'embrasser... je descends sur ton ventre, et m'arrête à (la lisière de la forêt XD) dentelle de la petite culotte. Un de mes doigts passe sous cette barrière...




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